Formation en gestion de crédit

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Formation en gestion de crédit   TCM Belgium, partenaire (inter)national du recouvrement de créances de plus de 5.000 entreprises belges, offre régulièrement des formations concernant divers sujets liés à notre secteur d'activité. Le 19 avril 2024, nous...

De afschaffing van de quasi-immuniteit, een goede zaak?

De afschaffing van de quasi-immuniteit, een goede zaak?

De afschaffing van de quasi-immuniteit, een goede zaak?   Een nieuwe wet, die vermoedelijk van kracht gaat op 1 januari 2025, zorgt voor de afschaffing van de quasi-immuniteit van de uitvoeringsagent (‘hulppersoon’) en het samenloopverbod tussen contractuele en...

Aanpassing Boek XIX: Matiging i.p.v. nietigverklaring AV

Aanpassing Boek XIX: Matiging i.p.v. nietigverklaring AV

Aanpassing Boek XIX: Matiging i.p.v. nietigverklaring AV​ De toevoeging van Boek XIX aan het WER kerfde een nieuw kader voor het invorderen van consumentenschulden. We hebben hier reeds uitvoerig over geschreven, de belangrijkste aanpassingen aan het inningsproces...

Lettre de Nouvel An

Lettre de Nouvel An

Lettre de Nouvel An   Chers clients, collègues, partenaires et collaborateurs, Quelle année, tant au niveau international que pour TCM Belgium ! Le 25/10/2023, nous avons pu célébrer notre 30e anniversaire. Déjà trente ans que nous aidons nos clients dans le...

FIER DE RECOUVRER DES CREANCES ?

TCM wallet doctor

Suis-je fier de mon métier ? Suis-je fier de recouvrer des créances ? La question m’a été posée 2 fois ces dernières semaines, par un politicien puis par un collègue étranger. La réponse est : ‘non et oui’.

NON : Qui serait fier d’un métier déshonorant, absurde et improductif ?

Il semble que pour certaines personnes, un recouvreur de créances est un personnage sans cœur qui se nourrit grassement de la faiblesse de miséreux dont il tente d’extraire quelques sous, sans ménagement.

Si cette conception est vraie, ce métier est affreux.  Si cette conception est vraie, c’est aussi un métier idiot car faire payer des miséreux ne peut être que difficile et certainement pas rémunérateur.  Qui serait fier d’un métier indigne, stupide et qui ne rapporte rien ?

OUI : Le recouvreur de créances et le débiteur évitent des efforts et des frais ; le créancier peut investir et développer.

La pratique quotidienne montre que la majorité des impayés ne sont pas le fait de miséreux. Environ 15% des impayés que nous traitons (soit 15% de +- 4% des factures de nos clients) sont dus à un problème de manque d’argent. Cela laisse 85% des dettes (qui nous sont confiées) qui sont causées par les situations les plus diverses (facture non reçue, indisponibilité ou absence prolongée du débiteur, produit ou service non conforme, livraison déficiente, distraction, etc.) et parfois, une négligence plus ou moins consciente. La mauvaise foi pure et simple reste heureusement rare.

Le juge ou le dialogue

Face à un impayé, la solution la plus connue par bon nombre de créanciers est d’assigner directement le « mauvais payeur » en justice pour obtenir une apaisante (*) condamnation du débiteur et, le cas échéant, le paiement tant attendu.  Toutefois, la justice a ses lenteurs et ses incertitudes, ce qui peut être irritant ; et ses coûts, ce qui peut être pénible.

(* Apaisante car le créancier, mal informé par le débiteur et frustré de son argent, considère souvent le débiteur comme coupable.)

C’est pourquoi le recouvreur de créances prône le dialogue ; qui est dans la très grande majorité des cas plus rapide, moins coûteux et moins irritant que la justice.

En effet, pour ceux qui ne peuvent pas payer (les 15%), notre métier est simplement de s’assurer de la réalité de cette situation, puis de clôturer le dossier ou, le cas échéant, de le mettre en attente.  Et, à moins de trouver un riche et généreux oncle d’Amérique, ce qui a toujours été rare, il n’y a pas de solution immédiate.  Le recouvreur de créances et le débiteur évitent ainsi par le dialogue des travaux et des frais lourds et inutiles, notamment de justice.

Pour ceux qui peuvent payer mais ne le font pas, le dialogue est encore plus productif car il génère le paiement et – c’est important – laisse toutes les parties satisfaites.  A TCM, 99 créances sur cent sont solutionnées hors tribunaux. Cela signifie que seulement pour une créance sur cent, le débiteur est solvable et refuse de payer malgré une prestation adéquate du créancier.

Investir et développer

Un recouvreur de créances aplanit les angles et suggère des solutions raisonnables. Comme il n’est pas partie à la genèse de la dette, il a moins d’émotions et sans doute plus d’écoute. En plus, il a des outils (systèmes de suivi, accès à l’information utile).

Par son travail, le recouvreur de créances permet au créancier de récupérer des impayés sans trop de frais et relativement rapidement. Ce créancier peut alors réinvestir ces sommes en croissance et création d’emplois.

Pour le débiteur, les frais sont minimes. De plus, les consommateurs ont intérêt à l’existence d’un recouvrement amiable simple : cela facilite un accès au crédit à des conditions raisonnables et, plus globalement, le bon fonctionnement de l’économie.

Pour la société, en général, le recouvrement de créances allège les coûts de la justice et donc les impôts qui la financent.

Conclusion

Par son écoute et sa compétence professionnelle, le recouvreur de créances évite l’usage d’armes lourdes pour régler ce qui ne sont souvent que des malentendus. Cela fait des économies d’aigreurs et d’Euros et cela se solutionne plus rapidement.

Donc, définitivement : oui, nous sommes fiers de notre métier. Mais peut-être faudrait-il le renommer : médecin du portefeuille.

Etienne van der Vaeren

FIER DE RECOUVRER DES CREANCES ?

TCM wallet doctor

Suis-je fier de mon métier ? Suis-je fier de recouvrer des créances ? La question m’a été posée 2 fois ces dernières semaines, par un politicien puis par un collègue étranger. La réponse est : ‘non et oui’.

NON : Qui serait fier d’un métier déshonorant, absurde et improductif ?

Il semble que pour certaines personnes, un recouvreur de créances est un personnage sans cœur qui se nourrit grassement de la faiblesse de miséreux dont il tente d’extraire quelques sous, sans ménagement.

Si cette conception est vraie, ce métier est affreux.  Si cette conception est vraie, c’est aussi un métier idiot car faire payer des miséreux ne peut être que difficile et certainement pas rémunérateur.  Qui serait fier d’un métier indigne, stupide et qui ne rapporte rien ?

OUI : Le recouvreur de créances et le débiteur évitent des efforts et des frais ; le créancier peut investir et développer.

La pratique quotidienne montre que la majorité des impayés ne sont pas le fait de miséreux. Environ 15% des impayés que nous traitons (soit 15% de +- 4% des factures de nos clients) sont dus à un problème de manque d’argent. Cela laisse 85% des dettes (qui nous sont confiées) qui sont causées par les situations les plus diverses (facture non reçue, indisponibilité ou absence prolongée du débiteur, produit ou service non conforme, livraison déficiente, distraction, etc.) et parfois, une négligence plus ou moins consciente. La mauvaise foi pure et simple reste heureusement rare.

Le juge ou le dialogue

Face à un impayé, la solution la plus connue par bon nombre de créanciers est d’assigner directement le « mauvais payeur » en justice pour obtenir une apaisante (*) condamnation du débiteur et, le cas échéant, le paiement tant attendu.  Toutefois, la justice a ses lenteurs et ses incertitudes, ce qui peut être irritant ; et ses coûts, ce qui peut être pénible.

(* Apaisante car le créancier, mal informé par le débiteur et frustré de son argent, considère souvent le débiteur comme coupable.)

C’est pourquoi le recouvreur de créances prône le dialogue ; qui est dans la très grande majorité des cas plus rapide, moins coûteux et moins irritant que la justice.

En effet, pour ceux qui ne peuvent pas payer (les 15%), notre métier est simplement de s’assurer de la réalité de cette situation, puis de clôturer le dossier ou, le cas échéant, de le mettre en attente.  Et, à moins de trouver un riche et généreux oncle d’Amérique, ce qui a toujours été rare, il n’y a pas de solution immédiate.  Le recouvreur de créances et le débiteur évitent ainsi par le dialogue des travaux et des frais lourds et inutiles, notamment de justice.

Pour ceux qui peuvent payer mais ne le font pas, le dialogue est encore plus productif car il génère le paiement et – c’est important – laisse toutes les parties satisfaites.  A TCM, 99 créances sur cent sont solutionnées hors tribunaux. Cela signifie que seulement pour une créance sur cent, le débiteur est solvable et refuse de payer malgré une prestation adéquate du créancier.

Investir et développer

Un recouvreur de créances aplanit les angles et suggère des solutions raisonnables. Comme il n’est pas partie à la genèse de la dette, il a moins d’émotions et sans doute plus d’écoute. En plus, il a des outils (systèmes de suivi, accès à l’information utile).

Par son travail, le recouvreur de créances permet au créancier de récupérer des impayés sans trop de frais et relativement rapidement. Ce créancier peut alors réinvestir ces sommes en croissance et création d’emplois.

Pour le débiteur, les frais sont minimes. De plus, les consommateurs ont intérêt à l’existence d’un recouvrement amiable simple : cela facilite un accès au crédit à des conditions raisonnables et, plus globalement, le bon fonctionnement de l’économie.

Pour la société, en général, le recouvrement de créances allège les coûts de la justice et donc les impôts qui la financent.

Conclusion

Par son écoute et sa compétence professionnelle, le recouvreur de créances évite l’usage d’armes lourdes pour régler ce qui ne sont souvent que des malentendus. Cela fait des économies d’aigreurs et d’Euros et cela se solutionne plus rapidement.

Donc, définitivement : oui, nous sommes fiers de notre métier. Mais peut-être faudrait-il le renommer : médecin du portefeuille.

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